Si la loi sur l’air avait été appliquée telle qu’elle a été votée en 1996, le droit à respirer un air qui ne nuise pas sa santé – reconnu à l’article premier – ne serait pas virtuel.
Si la loi sur l’air avait été appliquée, chacun d’entre nous, là où il vit, aurait été informé, année après année, non seulement de l’évolution de la pollution, mais également des effets délétères sur la santé publique.
En effet, le droit à l’information concerne non seulement la qualité de l’air mais également les effets sur la santé grâce à la publication...